Trek 2019 – 18 juin – Le Chemin de Saint Guilhem
Mardi 18 juin - La Canourgue - Le Gazy
Ce matin, nous ne sommes pas pressé de nous mettre en marche car nous n'avons que 12 km à parcourir pour cette première étape.
Le petit déjeuner n'est pas aussi bien que la veille pourtant nous sommes encore une fois dans un "Logis de France". C'est dommage car il y a du choix mais ce n'est pas bien disposé et ça ne donne pas envie.
Avant de partir, nous allons mettre dans la voiture ce que nous n'emmenons pas pendant la durée du trek et prenons enfin le départ pour cette première journée de marche. Nous nous dirigeons tout d'abord vers la Canourgue avec l'envie de prendre des photos que nous n'avions pas fait la veille car nous n'avions pas nos appareils photo. Seulement, nous ne pourrons pas faire ce que nous avions imaginé car c'est le jour du marché et avec les étals devant les monuments et belles façades, ce n'est pas très folichon.
Développée autour d’un monastère au VIIe siècle, au pied du Causse de Sauveterre, aux portes de l’Aubrac et des Gorges du Tarn, La Canourgue s’ouvre sur la vallée du Lot, son altitude est de 563m.
Toute la vie s’est organisée dés le Moyen Age aux abords de L’Urugne (affluent du Lot). L’eau est présente partout, s’engouffrant sous les maisons avant de rejaillir dans l’une des nombreuses fontaines. La multitude de canaux qui jouent à cache-cache à travers les ruelles, et sous les maisons justifient son surnom de « Petite Venise Lozérienne ».
La randonnée commence à la sortie du village et nous trouvons un chemin qui monte progressivement. Ayant démarrés à 563m à La Canourgue, le point culminant de la matinée sera 888 m. Il y a beaucoup de haies de buis. Nous observons aussi d'énormes cocons que l'on pourrait nommer "nids" vu leur grosseur. Ce sont les chenilles processionnaires du pin qui causent de gros dégâts dans les arbres.
Nous mangeons près d'un dolmen que nous ne verrons pas car le chemin ne semble pas très sécurisé pour y aller. L'après-midi, nous montons légèrement jusque 895 m mais la marche est vite terminée car nous arrivons à Le Gazy à 14h00.
Il y a très peu de maisons dans le hameau et pourtant nous ne trouvons pas le gîte tout de suite. Il nous faut téléphoner à la propriétaire pour trouver la maison. En fait, nous sommes juste en face mais il faut contourner une maison et monter un peu plus haut. Voilà la maison et l'escalier par lequel nous accédons au logement :
Nous sommes à la ferme-auberge Pradeilles. Nos sacs n'ont pas encore été livrés par la Malle Postale. Nous nous installons dans notre chambre qui est très rustique mais où il ne manque rien et dès que les bagages sont livrés, nous pouvons nous rafraîchir en prenant une bonne douche et nous changer. Nous flânons dans le jardin et profitons d'un peu de détente avec une collation offerte par notre hôtesse. Il fait très beau mais il y a beaucoup de vent.
A 19 h 30, nous regagnons la salle à manger où nous faisons connaissance d'un autre couple de Nordistes qui sont en camping car mais qui connaissent l'auberge depuis 22 ans et y passent chaque année. C'est la mamie Marinette qui nous tient compagnie et fait le service. Elle est très bavarde mais très sympa et nous passons un bon moment. Le repas est pantagruélique. Nous commençons par une salade verte dans laquelle il y a de grosses tranches de lard grillé et nous pensons que c'est l'entrée. Puis Marinette amène un grand plat de charcuterie avec du Jambon cru, du pâté et du saucisson. Tout est fait maison. Nous en déduisons que c'est le plat principal mais sommes déçus qu'il n'y ait pas de légumes ou pommes de terre pour accompagner la charcuterie. Nous sommes très surpris lorsque Marinette apporte un énorme plat de poulet rôti avec des tagliatelles de carottes. Et ce n'est pas fini car après il y a le plateau de fromage, suivi d'une part de glace "Viennetta".
La nuit n'est pas terrible car il fait chaud.
Le petit déjeuner n'est pas aussi bien que la veille pourtant nous sommes encore une fois dans un "Logis de France". C'est dommage car il y a du choix mais ce n'est pas bien disposé et ça ne donne pas envie.
Avant de partir, nous allons mettre dans la voiture ce que nous n'emmenons pas pendant la durée du trek et prenons enfin le départ pour cette première journée de marche. Nous nous dirigeons tout d'abord vers la Canourgue avec l'envie de prendre des photos que nous n'avions pas fait la veille car nous n'avions pas nos appareils photo. Seulement, nous ne pourrons pas faire ce que nous avions imaginé car c'est le jour du marché et avec les étals devant les monuments et belles façades, ce n'est pas très folichon.
Développée autour d’un monastère au VIIe siècle, au pied du Causse de Sauveterre, aux portes de l’Aubrac et des Gorges du Tarn, La Canourgue s’ouvre sur la vallée du Lot, son altitude est de 563m.
Toute la vie s’est organisée dés le Moyen Age aux abords de L’Urugne (affluent du Lot). L’eau est présente partout, s’engouffrant sous les maisons avant de rejaillir dans l’une des nombreuses fontaines. La multitude de canaux qui jouent à cache-cache à travers les ruelles, et sous les maisons justifient son surnom de « Petite Venise Lozérienne ».
La randonnée commence à la sortie du village et nous trouvons un chemin qui monte progressivement. Ayant démarrés à 563m à La Canourgue, le point culminant de la matinée sera 888 m. Il y a beaucoup de haies de buis. Nous observons aussi d'énormes cocons que l'on pourrait nommer "nids" vu leur grosseur. Ce sont les chenilles processionnaires du pin qui causent de gros dégâts dans les arbres.
Nous mangeons près d'un dolmen que nous ne verrons pas car le chemin ne semble pas très sécurisé pour y aller. L'après-midi, nous montons légèrement jusque 895 m mais la marche est vite terminée car nous arrivons à Le Gazy à 14h00.
Il y a très peu de maisons dans le hameau et pourtant nous ne trouvons pas le gîte tout de suite. Il nous faut téléphoner à la propriétaire pour trouver la maison. En fait, nous sommes juste en face mais il faut contourner une maison et monter un peu plus haut. Voilà la maison et l'escalier par lequel nous accédons au logement :
Nous sommes à la ferme-auberge Pradeilles. Nos sacs n'ont pas encore été livrés par la Malle Postale. Nous nous installons dans notre chambre qui est très rustique mais où il ne manque rien et dès que les bagages sont livrés, nous pouvons nous rafraîchir en prenant une bonne douche et nous changer. Nous flânons dans le jardin et profitons d'un peu de détente avec une collation offerte par notre hôtesse. Il fait très beau mais il y a beaucoup de vent.
A 19 h 30, nous regagnons la salle à manger où nous faisons connaissance d'un autre couple de Nordistes qui sont en camping car mais qui connaissent l'auberge depuis 22 ans et y passent chaque année. C'est la mamie Marinette qui nous tient compagnie et fait le service. Elle est très bavarde mais très sympa et nous passons un bon moment. Le repas est pantagruélique. Nous commençons par une salade verte dans laquelle il y a de grosses tranches de lard grillé et nous pensons que c'est l'entrée. Puis Marinette amène un grand plat de charcuterie avec du Jambon cru, du pâté et du saucisson. Tout est fait maison. Nous en déduisons que c'est le plat principal mais sommes déçus qu'il n'y ait pas de légumes ou pommes de terre pour accompagner la charcuterie. Nous sommes très surpris lorsque Marinette apporte un énorme plat de poulet rôti avec des tagliatelles de carottes. Et ce n'est pas fini car après il y a le plateau de fromage, suivi d'une part de glace "Viennetta".
La nuit n'est pas terrible car il fait chaud.
Parcours de la journée
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