Trek 2019 – 23 juin – Le Chemin de Saint Guilhem
Dimanche 23 juin - L'Espérou - Le Vigan
Nous avons demandé le petit déjeuner à 7 h 00 au lieu de 7 h 30 car nous savons que nous allons avoir une sacrée descente et qu'il risque de faire très chaud d'après la météo. Nous descendons avec les bagages pile à l'heure. Le petit déjeuner n'est pas plus appétissant que le repas de la veille. Tout est présenté sur une table centrale. Fromages et charcuterie sont encore dans leurs emballages industriels. Il y a aussi du pain, du miel, de la confiture, des croissants (secs), des yaourts, de la salade de fruits. Le café et le jus d'orange sont amenés à table.
Nous partons à 7 h 45. Dès la sortie de l'hôtel, nous traversons le carrefour qui est en face, empruntons une petite montée par la route goudronnée et entrons en forêt peu après. Toute la matinée, nous serons en forêt entre montées et descentes ainsi que des traversées de route. Ça nous semble long. Nous prenons notre repas avant d'entamer la longue descente vers Le Vigan. Le pique-nique est copieux mais simple et pas très bon.
Ensuite, c'est l'interminable descente d'abord jusqu'à Aulas où nous nous arrêtons un peu auprès d'une fontaine pas très propre. En plus, ça ne sent pas très bon à cause des toilettes publiques qui sont juste à côté. Nous ne traînons pas et continuons notre descente par un chemin qui longe la route. Nous arrivons à Le Vigan derrière ce qui semble être un hôpital à moitié abandonné mais il s'avère que c'est un Centre Scolaire. C'est très triste comme arrivée. Le Vigan n'est pas une ville très jolie. Il y a un grand parc ombragé avec banc où nous prenons un peu de repos avant de chercher notre hôtel. Pour le trouver, il nous faudra longer une nationale, puis traverser une cité assez craignos, un rond-point infernal... ça semble inquiétant comme endroit mais c'est une surprise agréable de découvrir l'hôtel en retrait de la route avec sa piscine, sa terrasse, le tout très fleuri : Le Mas de la Prairie. Il est un peu plus de 16 heures.
La patronne nous accueille et nous remet la clé de la chambre immédiatement. Nous nous installons en terrasse et buvons une bière "Girouette" brassée à Montpellier. Nous allons ensuite dans la chambre puis nous installons à la terrasse du 1er étage en attendant les sacs.
Nous en profitons pour appeler la Malle Postale afin de prendre la navette jusqu'à Navacelles car il fait très chaud, c'est le début de la canicule, et Gégé souffre pas mal de sa cheville et moi de mon genou.
Au bout d'un moment, nous allons demander à quelle heure passe la malle postale pour la livraison des sacs. La patronne pense que c'est plutôt vers 18 h 30, elle ouvre la porte de la bagagerie pour vérifier et, surprise, nos sacs sont déjà là ! Nous prenons notre douche et retournons à la terrasse du rez-de-chaussée. Nous parlons avec un randonneur qui était aussi à l'hôtel du Touring à l'Espérou. Il vient juste d'arriver à 18 h 30 car il a pris son temps pensant que le chemin serait vite fait.
A 19 h 30, nous passons à table en terrasse. Nous prenons d'abord l'apéro : bière et carthagène (apéritif traditionnel du Languedoc) et le serveur apporte à chacun une assiette avec une tomate cerise caramélisée et poudrée de noix de coco râpée, un toast grillé à la tapenade verte et un petit ramequin de mousse de poivron rouge et oignon grillé.
En entrée, c'est une salade paysanne : salade verte, tomate, œuf dur, lardons, croûtons. Pour le plat, j'ai choisi un steak d'espadon sauce citron et Gégé a pris une entrecôte sauce morilles. Chacun, nous avons plein de petits légumes différents pour les deux assiettes. Tarte aux pommes en dessert avec des groseilles, des cerises, des fraises, des mûres et de la chantilly.
La nuit sera étouffante.
Nous partons à 7 h 45. Dès la sortie de l'hôtel, nous traversons le carrefour qui est en face, empruntons une petite montée par la route goudronnée et entrons en forêt peu après. Toute la matinée, nous serons en forêt entre montées et descentes ainsi que des traversées de route. Ça nous semble long. Nous prenons notre repas avant d'entamer la longue descente vers Le Vigan. Le pique-nique est copieux mais simple et pas très bon.
Ensuite, c'est l'interminable descente d'abord jusqu'à Aulas où nous nous arrêtons un peu auprès d'une fontaine pas très propre. En plus, ça ne sent pas très bon à cause des toilettes publiques qui sont juste à côté. Nous ne traînons pas et continuons notre descente par un chemin qui longe la route. Nous arrivons à Le Vigan derrière ce qui semble être un hôpital à moitié abandonné mais il s'avère que c'est un Centre Scolaire. C'est très triste comme arrivée. Le Vigan n'est pas une ville très jolie. Il y a un grand parc ombragé avec banc où nous prenons un peu de repos avant de chercher notre hôtel. Pour le trouver, il nous faudra longer une nationale, puis traverser une cité assez craignos, un rond-point infernal... ça semble inquiétant comme endroit mais c'est une surprise agréable de découvrir l'hôtel en retrait de la route avec sa piscine, sa terrasse, le tout très fleuri : Le Mas de la Prairie. Il est un peu plus de 16 heures.
La patronne nous accueille et nous remet la clé de la chambre immédiatement. Nous nous installons en terrasse et buvons une bière "Girouette" brassée à Montpellier. Nous allons ensuite dans la chambre puis nous installons à la terrasse du 1er étage en attendant les sacs.
Nous en profitons pour appeler la Malle Postale afin de prendre la navette jusqu'à Navacelles car il fait très chaud, c'est le début de la canicule, et Gégé souffre pas mal de sa cheville et moi de mon genou.
Au bout d'un moment, nous allons demander à quelle heure passe la malle postale pour la livraison des sacs. La patronne pense que c'est plutôt vers 18 h 30, elle ouvre la porte de la bagagerie pour vérifier et, surprise, nos sacs sont déjà là ! Nous prenons notre douche et retournons à la terrasse du rez-de-chaussée. Nous parlons avec un randonneur qui était aussi à l'hôtel du Touring à l'Espérou. Il vient juste d'arriver à 18 h 30 car il a pris son temps pensant que le chemin serait vite fait.
A 19 h 30, nous passons à table en terrasse. Nous prenons d'abord l'apéro : bière et carthagène (apéritif traditionnel du Languedoc) et le serveur apporte à chacun une assiette avec une tomate cerise caramélisée et poudrée de noix de coco râpée, un toast grillé à la tapenade verte et un petit ramequin de mousse de poivron rouge et oignon grillé.
En entrée, c'est une salade paysanne : salade verte, tomate, œuf dur, lardons, croûtons. Pour le plat, j'ai choisi un steak d'espadon sauce citron et Gégé a pris une entrecôte sauce morilles. Chacun, nous avons plein de petits légumes différents pour les deux assiettes. Tarte aux pommes en dessert avec des groseilles, des cerises, des fraises, des mûres et de la chantilly.
La nuit sera étouffante.
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