Trek 2009 - 15 octobre - Everest Classic : des villages sherpas au sommet du Kala Patthar
15 octobre 2009 - Katmandou काठमाडौं
Nous sommes arrivés à 8 h 30 à l'aéroport de Katmandou avec Françoise et Jean Pierre (la sœur de mon mari, Gérard, et son mari). Tout de suite, il faut remplir un formulaire sur la grippe A (H1N1), puis c'est la longue file d'attente pour le visa. Nous récupérons nos bagages et à la sortie de l'aéroport, c'est le regroupement des voyageurs
Avec Françoise et Jean Pierre, nous nous éclipsons dans nos chambres pour nous mettre d'accord sur l'organisation de la journée. Nous commençons par aller à Bodnath à pied en passant par les jardins de l'hôtel et les petites rues qui mènent vers le stupa. C'est l'un des plus grands stupas du monde. La pyramide est composée de 13 ombrelles qui représentent le chemin vers l'éveil et c'est le hamika qui porte les yeux de Bouddha. Nous visitons un monastère (environ cinquante monastères tibétains ont été construits autour de Bodnath). Nous voyons les nombreux moulins à prières, les lampes à beurre, les réfugiés tibétains et faisons le tour du stupa où il y a de nombreuses boutiques.
Puis nous allons au restaurant que nous connaissons bien sur la terrasse la plus élevée pour manger des momos et boire une bière Everest.
Nous retournons à l'hôtel pour prendre les médicaments que nous avons apportés pour donner au camp de réfugiés tibétains. A la capitainerie de l'hôtel, nous demandons un taxi pour nous amener à Swayambunath. Il y a beaucoup d'embouteillages pour y arriver. Nous allons d'abord voir les grandes statues dorées de Bouddha, Guru Rimpoché et Manjushri où nous rencontrons des dames en sari avec lesquelles nous faisons quelques photos. Le stupa côtoie des temples hindouistes. C’est, par excellence, le stupa des Newar qui pratiquent une des deux religions ou une religion mixte.
Nous montons jusqu'au stupa Swayambunath (De swayam (svayam) : de lui-même, bhu : exister, natha : qui protège. Swayambunath est le Protecteur qui existe par lui-même, celui qui est au-dessus de tout, c’est l’Adhi-buddha, le Buddha suprême des bouddhismes mahayana.) en croisant quelques singes ( le stupa est aussi appelé stupa des singes). Nous visitons un monastère où des moines sont en prière. Je cherche un moine pour lui demander où se trouve le camp de réfugiés tibétains (car depuis la dernière fois en 2007, je ne me rappelle plus très bien du chemin) et j'en trouve un qui connaît et m'explique bien où il se trouve mais le temps nous manque pour faire le crochet car le taxi nous attend en bas de marches... Nous lui demandons s'il peut s'en occuper et en fait, il nous montre où il habite et c'est juste à côté du camp; Je lui confie donc les médicaments. Nous faisons le tour du stupa, regardons les boutiques, photographions des pèlerins et après un coup d’œil sur Kathmandou, nous descendons les 365 marches.
Nous reprenons le taxi pour Thamel et faisons pas mal de détours car certaines routes sont fermées pour travaux, il y a encore plein de bouchons ! Nous nous promenons et visitons les boutiques et faisons déjà quelques achats (des boucles d'oreilles Buddha eyes et de petits albums photos en papier népalais). Petit coup d'oeil sur les branchements électriques :
Nous avons soif et cherchons un restaurant pour ce soir. Nous proposons de retourner au restaurant thaïlandais où nous étions allés en 2006 mais ça ne branche pas notre beau frère. Nous buvons un verre à une terrasse, regardons le menu mais il n'y a pas beaucoup de spécialités du Népal : pizzas, pâtes, burritos ! et les prix sont élevés. Nous cherchons à prendre un taxi mais il faut sortir du "bouillant Thamel" et nous nous perdons un peu avant d'arriver à un boulevard. Là, nous trouvons un taxi et demandons de nous déposer à Bodnath. Nous changeons de restaurant et allons à Bouddha Kitchen pour manger encore des momos, sauf Gérard qui prend du bœuf au poivre du Sichuan avec des frites au grand dam du serveur. Nous revenons à l'hôtel par la route car nous craignons les chemins peu éclairés surtout qu'il y a eu une panne d'électricité peu avant notre repas. La douche est la bienvenue car si nous avons bien profité de notre première journée, nous sommes épuisés. Des personnes du groupe viennent frapper à notre porte pour nous avertir que le guide a fixé le rendez-vous de demain matin à 5 h 00 au lieu de 5 h 30.
Nous nous endormons vers 21 h 30.
Nous faisons connaissance avec celui qui sera notre guide pour toute la durée du voyage : Ang Nuru Sherpa, plus connu sous son prénom (Nuru), natif du Khumjung, il a vaincu deux fois l’Everest (8 850 m) en tant que guide et a plusieurs sommets de 6 000 m à son actif.
Celui ci nous amène au minibus et nous partons vers l'hôtel Hyatt Regency. Un pot d'accueil nous est offert dans le hall avant la remise des clés.
La porte d'entrée de l'hôtel |
Le hall |
Celui ci nous amène au minibus et nous partons vers l'hôtel Hyatt Regency. Un pot d'accueil nous est offert dans le hall avant la remise des clés.
Avec Françoise et Jean Pierre, nous nous éclipsons dans nos chambres pour nous mettre d'accord sur l'organisation de la journée. Nous commençons par aller à Bodnath à pied en passant par les jardins de l'hôtel et les petites rues qui mènent vers le stupa. C'est l'un des plus grands stupas du monde. La pyramide est composée de 13 ombrelles qui représentent le chemin vers l'éveil et c'est le hamika qui porte les yeux de Bouddha. Nous visitons un monastère (environ cinquante monastères tibétains ont été construits autour de Bodnath). Nous voyons les nombreux moulins à prières, les lampes à beurre, les réfugiés tibétains et faisons le tour du stupa où il y a de nombreuses boutiques.
Puis nous allons au restaurant que nous connaissons bien sur la terrasse la plus élevée pour manger des momos et boire une bière Everest.
Nous retournons à l'hôtel pour prendre les médicaments que nous avons apportés pour donner au camp de réfugiés tibétains. A la capitainerie de l'hôtel, nous demandons un taxi pour nous amener à Swayambunath. Il y a beaucoup d'embouteillages pour y arriver. Nous allons d'abord voir les grandes statues dorées de Bouddha, Guru Rimpoché et Manjushri où nous rencontrons des dames en sari avec lesquelles nous faisons quelques photos. Le stupa côtoie des temples hindouistes. C’est, par excellence, le stupa des Newar qui pratiquent une des deux religions ou une religion mixte.
Nous montons jusqu'au stupa Swayambunath (De swayam (svayam) : de lui-même, bhu : exister, natha : qui protège. Swayambunath est le Protecteur qui existe par lui-même, celui qui est au-dessus de tout, c’est l’Adhi-buddha, le Buddha suprême des bouddhismes mahayana.) en croisant quelques singes ( le stupa est aussi appelé stupa des singes). Nous visitons un monastère où des moines sont en prière. Je cherche un moine pour lui demander où se trouve le camp de réfugiés tibétains (car depuis la dernière fois en 2007, je ne me rappelle plus très bien du chemin) et j'en trouve un qui connaît et m'explique bien où il se trouve mais le temps nous manque pour faire le crochet car le taxi nous attend en bas de marches... Nous lui demandons s'il peut s'en occuper et en fait, il nous montre où il habite et c'est juste à côté du camp; Je lui confie donc les médicaments. Nous faisons le tour du stupa, regardons les boutiques, photographions des pèlerins et après un coup d’œil sur Kathmandou, nous descendons les 365 marches.
Nous reprenons le taxi pour Thamel et faisons pas mal de détours car certaines routes sont fermées pour travaux, il y a encore plein de bouchons ! Nous nous promenons et visitons les boutiques et faisons déjà quelques achats (des boucles d'oreilles Buddha eyes et de petits albums photos en papier népalais). Petit coup d'oeil sur les branchements électriques :
Nous avons soif et cherchons un restaurant pour ce soir. Nous proposons de retourner au restaurant thaïlandais où nous étions allés en 2006 mais ça ne branche pas notre beau frère. Nous buvons un verre à une terrasse, regardons le menu mais il n'y a pas beaucoup de spécialités du Népal : pizzas, pâtes, burritos ! et les prix sont élevés. Nous cherchons à prendre un taxi mais il faut sortir du "bouillant Thamel" et nous nous perdons un peu avant d'arriver à un boulevard. Là, nous trouvons un taxi et demandons de nous déposer à Bodnath. Nous changeons de restaurant et allons à Bouddha Kitchen pour manger encore des momos, sauf Gérard qui prend du bœuf au poivre du Sichuan avec des frites au grand dam du serveur. Nous revenons à l'hôtel par la route car nous craignons les chemins peu éclairés surtout qu'il y a eu une panne d'électricité peu avant notre repas. La douche est la bienvenue car si nous avons bien profité de notre première journée, nous sommes épuisés. Des personnes du groupe viennent frapper à notre porte pour nous avertir que le guide a fixé le rendez-vous de demain matin à 5 h 00 au lieu de 5 h 30.
Nous nous endormons vers 21 h 30.
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