Trek 2019 – 21 juin – Le Chemin de Saint Guilhem
Vendredi 21 juin - Nivoliers - Meyrueis
Nous nous levons dans la brume et ignorons encore quel sera notre choix : navette ou marche !
Nous allons prendre le petit déjeuner qui est servi à table et aussi appétissant que le dîner la veille : Café, pain, pain grillé, brioche, croissants, yaourt maison, jus de pomme-poire, beurre, confiture aux myrtilles, miel, pâte à tartiner maison. Un délice à l'auberge du Chanet.
Après ce bon petit déjeuner, nous prenons la décision de partir à pied aux alentours de 9 h 15. Au début, nous marchons en bord de route mais c'est très fleuri sur les bas-côtés, il y a très peu de passage d'automobiles et le temps est relativement beau.
Je photographie des orchidées et peux les identifier grâce à mes nouvelles connaissances de la veille.
Nous passons près de l'élevage de chevaux de Przewalski au Villaret. Le cheval de Przewalski, encore appelé cheval de Prjevalski ou takh en mongol, est une espèce ou sous-espèce du cheval. Il est caractérisé par un aspect massif, une grosse tête, une forte encolure et une couleur de robe isabelle, qui rappellent les représentations de l'art préhistorique.
Nous allons jusqu'à Hures d'où nous modifions notre itinéraire car le temps se détériore et nous ne tenons pas à nous attarder sous la pluie. Le temps se couvre de plus en plus et nous accélérons le rythme. Le chemin est parfois boueux. Au cours de la dernière heure de marche, nous devons enfiler nos vestes imperméables et couvrir nos sacs à dos pour nous protéger de la pluie qui tombe par intermittence. La fin nous semble interminable, nous n'apercevons jamais le village de Meyrueis, nous avons des douleurs dans les pieds, les jambes et ailleurs. En plus, nous avons dû rater un truc pour arriver en centre ville et devons longer une route sans accotement et très passante. Ça nous semble très dangereux. Nous finissons par arriver en début d'après-midi et nous installons sur un banc un peu à l'abri de la pluie, sous un platane et mangeons le pique-nique copieux qui nous a été préparé par nos hôtes à l'auberge du Chanet. Nous avons : un petit pain, une part de tarte au saumon, une barquette de salade coleslaw, un fricandeau, un morceau de saucisse sèche, un demi pelardon, un oeuf dur, une banane et tout ça par personne !
Nous nous installons ensuite en terrasse d'un bar avant de nous rendre à l'hôtel Family. A la réception, nous avons tout de suite les clés de notre chambre mais les sacs ne sont pas encore arrivés. Nous allons nous promener dans le village. Celui-ci pourrait être beau mais il est triste par manque d'entretien. Il en est de même pour l'hôtel car il y a une grande différence entre les photos du site et ce que nous trouvons au final, à moins qu'on ait eu la moins belle chambre !
Nous prenons quand même quelques photos pendant notre promenade.
Nous voyons le fourgon de la Malle Postale traverser le village et rentrons à l'hôtel pour nous doucher. Gégé téléphone a un taxi car la météo annonce encore du très mauvais temps pour le lendemain, il doit pleuvoir abondamment dans la matinée. Le taxi viendra nous prendre vers 11 h 00. Nous retournons dans le bar du village et buvons une bière "La Bête".
Pour le repas à l'hôtel, nous sommes étonnés de la différence qui est faite entre les clients qui sont en pension ou demi-pension et les autres : Nous n'avons pas de choix pour les plats qui sont imposés, la carafe d'eau et de vin sont déjà sur la table à notre arrivée, nous devons garder nos couverts pour tout le service... Nous demandons quand même à déguster notre apéro, ce qui nous est accordé ! Nous prenons une bière locale des brasseurs de la Jonte et un kir crémant châtaigne et on nous apporte des olives vertes à l'ail.
En entrée, c'est une salade (pas très fraîche et placée en tas dans l'assiette) avec du magret de canard séché (sur place parait-il !!!), le tout arrosé de vinaigrette industrielle.
Puis c'est une tranche de rôti de bœuf archi-cuit avec une sauce tout droit sortie d'un sachet, donc industrielle aussi, des haricots verts surgelés saupoudré d'ail lyophilisé et une tomate provençale.
En dessert, une boule de mousse au chocolat sur génoise aux noix (les cerneaux sont entiers).
Bref ce n'est pas terrible pour un hôtel restaurant 3 étoiles
Nous allons prendre le petit déjeuner qui est servi à table et aussi appétissant que le dîner la veille : Café, pain, pain grillé, brioche, croissants, yaourt maison, jus de pomme-poire, beurre, confiture aux myrtilles, miel, pâte à tartiner maison. Un délice à l'auberge du Chanet.
Après ce bon petit déjeuner, nous prenons la décision de partir à pied aux alentours de 9 h 15. Au début, nous marchons en bord de route mais c'est très fleuri sur les bas-côtés, il y a très peu de passage d'automobiles et le temps est relativement beau.
Je photographie des orchidées et peux les identifier grâce à mes nouvelles connaissances de la veille.
Il s'agit de l'orchidée "homme-pendu" et l'orchidée militaire.
Nous passons près de l'élevage de chevaux de Przewalski au Villaret. Le cheval de Przewalski, encore appelé cheval de Prjevalski ou takh en mongol, est une espèce ou sous-espèce du cheval. Il est caractérisé par un aspect massif, une grosse tête, une forte encolure et une couleur de robe isabelle, qui rappellent les représentations de l'art préhistorique.
Nous allons jusqu'à Hures d'où nous modifions notre itinéraire car le temps se détériore et nous ne tenons pas à nous attarder sous la pluie. Le temps se couvre de plus en plus et nous accélérons le rythme. Le chemin est parfois boueux. Au cours de la dernière heure de marche, nous devons enfiler nos vestes imperméables et couvrir nos sacs à dos pour nous protéger de la pluie qui tombe par intermittence. La fin nous semble interminable, nous n'apercevons jamais le village de Meyrueis, nous avons des douleurs dans les pieds, les jambes et ailleurs. En plus, nous avons dû rater un truc pour arriver en centre ville et devons longer une route sans accotement et très passante. Ça nous semble très dangereux. Nous finissons par arriver en début d'après-midi et nous installons sur un banc un peu à l'abri de la pluie, sous un platane et mangeons le pique-nique copieux qui nous a été préparé par nos hôtes à l'auberge du Chanet. Nous avons : un petit pain, une part de tarte au saumon, une barquette de salade coleslaw, un fricandeau, un morceau de saucisse sèche, un demi pelardon, un oeuf dur, une banane et tout ça par personne !
Nous nous installons ensuite en terrasse d'un bar avant de nous rendre à l'hôtel Family. A la réception, nous avons tout de suite les clés de notre chambre mais les sacs ne sont pas encore arrivés. Nous allons nous promener dans le village. Celui-ci pourrait être beau mais il est triste par manque d'entretien. Il en est de même pour l'hôtel car il y a une grande différence entre les photos du site et ce que nous trouvons au final, à moins qu'on ait eu la moins belle chambre !
Nous prenons quand même quelques photos pendant notre promenade.
Nous voyons le fourgon de la Malle Postale traverser le village et rentrons à l'hôtel pour nous doucher. Gégé téléphone a un taxi car la météo annonce encore du très mauvais temps pour le lendemain, il doit pleuvoir abondamment dans la matinée. Le taxi viendra nous prendre vers 11 h 00. Nous retournons dans le bar du village et buvons une bière "La Bête".
Pour le repas à l'hôtel, nous sommes étonnés de la différence qui est faite entre les clients qui sont en pension ou demi-pension et les autres : Nous n'avons pas de choix pour les plats qui sont imposés, la carafe d'eau et de vin sont déjà sur la table à notre arrivée, nous devons garder nos couverts pour tout le service... Nous demandons quand même à déguster notre apéro, ce qui nous est accordé ! Nous prenons une bière locale des brasseurs de la Jonte et un kir crémant châtaigne et on nous apporte des olives vertes à l'ail.
En entrée, c'est une salade (pas très fraîche et placée en tas dans l'assiette) avec du magret de canard séché (sur place parait-il !!!), le tout arrosé de vinaigrette industrielle.
Puis c'est une tranche de rôti de bœuf archi-cuit avec une sauce tout droit sortie d'un sachet, donc industrielle aussi, des haricots verts surgelés saupoudré d'ail lyophilisé et une tomate provençale.
En dessert, une boule de mousse au chocolat sur génoise aux noix (les cerneaux sont entiers).
Bref ce n'est pas terrible pour un hôtel restaurant 3 étoiles
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