Trek 2017 – 26 mai – L'échappée Jurassienne

Vendredi 26 mai - Les Rousses - Le Manon


Carte de l'itinéraire du jour :



Lever tôt et à 7 h 00, nous sommes prêts, sacs bouclés. Le petit déjeuner est servi à partir de 7 h 30. Nous sommes à l'heure à la salle à manger. C'est un buffet où il y a de tout, sauf les croissants qui sont amenés à table.
La femme de chambre nous remets les pique-niques et à 8 h 00, nous voilà partis.

Nous traversons à nouveau le centre ville et dépassons l'office de tourisme mais très vite, nous remarquons qu'il n'y a plus de marquage. Nous revenons sur nos pas et trouvons le chemin qui passe sous le tremplin de saut à ski et près du fort des Rousses. Nous restons un petit moment en forêt mais nous sommes vite sur le bitume. Le marquage n'est pas toujours évident et visible. Nous passons devant le gîte de la "Grenotte" et après, il y a une piste de ski à "grimper" avant de pénétrer à nouveau en forêt.


Nous traversons la forêt du massacre en restant toujours entre 1250 m et 1380 m d'altitude. Nous marchons tantôt sur piste, sentier ou route. Puis, c'est l'ascension du Crêt Pela ! Nous nous retrouvons face à un "mur" à gravir et la montée est complètement dévastée par les engins forestiers : donc, aucun chemin n'est tracé et le balisage a disparu... Tant bien que mal, nous arrivons au sommet (1495 m) et bizarrement, il y a quelques personnes qui sont installées pour déjeuner. Nous y mangeons en vitesse la salade piémontaise préparée par l'hôtel La Redoute (dans une barquette en plastique recouverte d'un papier alu et les pommes de terre ne sont pas assez cuites, elles sont croquantes. Pas le top en rando). 


La descente est moins compliquée et rapide mais il reste encore beaucoup de kilomètres à parcourir (13/14 km). Le balisage est toujours aussi mauvais. Nous traversons de grands pâturages qui semblent ne jamais finir. Nous osons un raccourci qui ne semble pas en être un. Nous arrivons enfin à Lajoux et dès l'entrée dans le village, prenons la direction du Manon où se trouve la Chandoline. Encore plus d'un kilomètre sur le macadam et sous un soleil de plomb. L'accueil est bizarre car il n'y a personne. Il faut frapper à la porte de la cuisine, car on y entend du bruit, pour trouver enfin quelqu'un. C'est le cuisinier qui ne parle pas bien le français (il doit être roumain ou serbe...) et qui est assez acariâtre, qui nous donne les clés de la chambre et "accepte" que nous venions boire une bière au bar après avoir monté les bagages. Or, nous trouvons une chambre avec des draps sales au sol et pas de salle de douche (ce n'est pas ce qui était convenu lors de la réservation). Nous retournons voir le cuisinier et à la lecture de notre mail, il fait le nécessaire pour changer de chambre et y transporte même nos sacs. Nous allons prendre la douche. Ici, on a les draps mais il faut faire son lit. C'est un gîte d'étape et ça ressemble un peu à la colo ! Pour le repas, c'est pareil : nous avons à peine le temps de boire une bière en terrasse que déjà la soupe est servie !


Une soupe à la tomate avec des céréales, saucisses de Morteau et polenta, salade avec fleurs de bourrache et compote de pomme, rhubarbe, amandes.

Pas de télé dans chambre; Extinction des feux !


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