Trek 2018 – 31 août et 1er septembre – Tour de l'Aubrac

Vendredi 31 août - Termes - Aumont-Aubrac


Ce matin, à l'auberge du Verdy, le petit déjeuner est assez "spartiate". Nous sommes dans le bar de l'hôtel. Nous avons quelques mini-viennoiseries industrielles et du pain grillé, du jus d'orange. La confiture et le nutella sont dans des barquettes industrielles aussi. Heureusement, il y a du miel des "Abeilles du Cantou" qui est un commerce local. Nous n'avons droit qu'à une grande tasse de café.


Nous sommes contents de prendre le départ à 8 h 34. Le chemin est une large piste bien damée car c'est l'accès à sept éoliennes. Une partie de la piste est même bitumée avant l'entrée dans le village de Fau de Peyre que nous atteignons à 10 h 45 environ. C'est où devaient dormir la dame de La Rochelle et son fils avec lesquels nous avons marché un moment mais nous ne les voyons pas évidemment car ils ont déjà du prendre la route pour rentrer chez eux.

Nous marchons un moment en bordure de ruisseau et c'est très agréable sauf pour trouver un endroit pour pique-niquer car tout est clôturé. C'est en passant dans le village suivant, à Nozières, que nous décidons de manger sur le mur de clôture d'une maison sans être très bien installés. Les sandwichs sont aussi décevant que le petit déjeuner : au jambon de pays ou saucisson, sans rien d'autre, ni beurre, ni salade, ni tomate, ni cornichon... Rien et une pomme en dessert. Ce n'est pas très grave, c'est notre dernier jour et nous sommes bientôt arrivés. 

La dernière demi heure de marche se fait sur la route en macadam avec passage sous l'autoroute et sous le chemin de fer en arrivant à Aumont-Aubrac. Il est 13 h 20 et le gîte n'ouvre qu'à 16 h 00. Nous patientons à la terrasse du bar tabac sur la place en buvant du café. Nous voyons les pèlerins de Saint Jacques de Compostelle arriver peu à peu. Nous allons jusqu'à la gare voir si la voiture n'a pas subit de dommages et faisons le tour des restaurants pour regarder les menus car nous aimerions manger de l'aligot avant de repartir vers le Nord, seulement il n'y a pas de restaurant typique et attirant. Nous allons aussi voir l'église et, en passant devant une boulangerie, nous achetons chacun un sacristain (Un sacristain est une viennoiserie faite d’un bâtonnet de pâte feuilletée torsadé, parsemé de noix et saupoudré de sucre. Comme d'autres pâtisseries (religieuse, jésuite, pet-de-nonne), l'origine du terme est peut-être religieuse, ancienne et incertaine. La canne des sacristains était torsadée. extrait Wikipédia).


A notre retour, le gîte est ouvert. Notre chambre est au sous-sol ou plutôt rez-de-jardin, cette fois-ci. Après la douche, Gégé va récupérer la voiture à la gare pour se stationner sur la place devant le gîte. Nous retournons au bar boire une bière et nous installons ensuite dans le salon du gîte mais c'est un peu triste. Nous attendons l'heure du repas dans notre chambre car c'est juste à côté de la salle à manger. A 19 h 15, nous sommes dans les premiers à nous installer à une table de huit car l'autre grande table de dix est réservée pour un groupe de brésiliens.

Le patron verse à ceux qui le désirent un kir à la framboise. Après nous avons une soupe de légume bien épaisse, puis un "couscous de l'Aubrac" et enfin la coupétade (C'est une spécialité lozérienne réalisée avec du pain dur, des pruneaux et des raisins, cuite au four avec des œufs et du lait). Nous discutons avec nos voisins de table dont un monsieur est animateur dans un club de marche de la région parisienne.

Parcours de la journée :



Samedi 1er septembre - Aumont-Aubrac - Retour vers les Hauts de France


Nous nous levons tôt pour être prêts "sacs bouclés" à 7 h 00 pour le petit déjeuner. Comme le premier jour, il y a du café ou du thé, des céréales, des yaourts, du pain grillé, du jus d'orange, du pain frais, du beurre et des confitures.
Nous avons réglé notre facture la veille et dès 7 h 30, nous regagnons la voiture et prenons le départ. Nous prenons tranquillement l'autoroute. Arrêts essence, repos, achat de sandwichs dans la matinée.
Nous passons en région parisienne à l'heure du déjeuner mais il y a quand même des bouchons et le GPS nous fait faire des contournements étranges.
Nous nous arrêtons 30 kms au-dessus de Paris pour manger nos sandwichs.
L'entrée en métropole lilloise se fait facilement malgré la braderie et nous sommes de retour à la maison aux alentours de 16 h 00.

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