Turquie 2014 - Combiné Istanbul Cappadoce - 17 Mars
Lundi 17 mars 2014 - Istanbul - Ürgüp
Ce matin nous pouvons prendre le temps car le rendez-vous est à 9 h 00 mais il faut descendre les valises. Le petit déjeuner est encore servi au sous sol. C'est un buffet bien achalandé.
Nous prenons le bus pour nous rendre à l'église byzantine Saint-Sauveur-in-Chora. L'église, construite au Vème siècle, était située en dehors du mur de Constantin construit au IVème siècle. La locution in Chōra, signifie «dans la campagne». Quand les remparts de Constantinople furent érigés en 413-414, l'église se retrouva à l'intérieur du système défensif de la ville, mais garda le nom de Chora.
Cependant la majorité de ce qui est visible aujourd'hui date de 1077-1081. Son plan en croix grecque servit, jusqu'au XVIIIème siècle, de modèle à toutes les églises orthodoxes d'Istanbul. L'église souffrit d'un écroulement partiel, dû à un tremblement de terre. Ce n’est qu'après la troisième phase de construction que l'église acquit la forme que nous lui connaissons aujourd’hui. Le puissant homme d'État Théodore Métochitès dota l’église de la plupart de ses magnifiques mosaïques et fresques. Cette décoration impressionnante fut exécutée entre 1315 et 1321 par des exécutants qui restent inconnus.
En 1511, l'église fut convertie en mosquée par les Turcs Ottomans. À cause de l’interdiction qui est faite de représenter l’Homme dans l'Islam, les mosaïques et les fresques sont recouvertes de chaux, mais ne sont pas détruites.
En 1948, le Byzantine Institute of America a commandité un programme de restauration. L'édifice cesse alors d’être une mosquée. En 1958, il fut ouvert au public en tant que musée.
Le guide nous fournit beaucoup d'explications et nous apprend le catéchisme d'une manière totalement différente de ce que nous connaissons.
Après la visite, j'achète un livre sur Istanbul et nous regardons les sacs à main.
Le bus nous dépose ensuite au bazar aux épices dit le «bazar égyptien» où nous avons quartier libre pendant une heure. C'est une visite parfumée et très colorée. J'y achète des pistaches qui ont un prix bien salé : 6,50 € pour 420 g.
Il est 12 h 20, nous allons au restaurant. Dès que nous sommes attablés, les serveurs nous apportent un potage de légumes et pois chiches. Nous pouvons ensuite nous attaquer à la salade tomate-menthe-échalote et, à ce moment, sont déposés sur la table des Poğaça (genre de fougasses) au fromage ou à la viande et du pain Bazlama. Le plat est composé de kebab à la viande hachée avec des oignons, des légumes, du blé et un morceau de Dürüm (galette turque). En dessert, salade de fruits frais, puis expresso.
Nous reprenons le bus pour traverser la rue "pratiquement" et embarquons à 22 personnes sur un bateau prévu pour environ 200 passagers. Nous allons à l'étage sur la terrasse et passons deux bonnes heures de croisière sur le Bosphore. Il fait du soleil mais il y a beaucoup de vent, il vaut mieux être bien couvert. Ensuite avec le bus, nous allons jusqu'à la pointe de la Corne d'or. C'est un estuaire commun aux rivières Alibeyköy Deresi et Kağıthane Deresi qui se jettent dans le Bosphore à Istanbul. Cet emplacement qui forme un port naturel fut aménagé par les colons grecs pour former la ville de Byzance. Sous l’empire byzantin, les chantiers navals y étaient installés et un mur d'enceinte le long de la berge protégeait la ville des attaques navales.
Durant la croisière, nous avons admiré un splendide panorama de la ville et de nombreux monuments qui ne sont visibles que par bateau :
Nous prenons le bus pour nous rendre à l'église byzantine Saint-Sauveur-in-Chora. L'église, construite au Vème siècle, était située en dehors du mur de Constantin construit au IVème siècle. La locution in Chōra, signifie «dans la campagne». Quand les remparts de Constantinople furent érigés en 413-414, l'église se retrouva à l'intérieur du système défensif de la ville, mais garda le nom de Chora.
Cependant la majorité de ce qui est visible aujourd'hui date de 1077-1081. Son plan en croix grecque servit, jusqu'au XVIIIème siècle, de modèle à toutes les églises orthodoxes d'Istanbul. L'église souffrit d'un écroulement partiel, dû à un tremblement de terre. Ce n’est qu'après la troisième phase de construction que l'église acquit la forme que nous lui connaissons aujourd’hui. Le puissant homme d'État Théodore Métochitès dota l’église de la plupart de ses magnifiques mosaïques et fresques. Cette décoration impressionnante fut exécutée entre 1315 et 1321 par des exécutants qui restent inconnus.
En 1511, l'église fut convertie en mosquée par les Turcs Ottomans. À cause de l’interdiction qui est faite de représenter l’Homme dans l'Islam, les mosaïques et les fresques sont recouvertes de chaux, mais ne sont pas détruites.
En 1948, le Byzantine Institute of America a commandité un programme de restauration. L'édifice cesse alors d’être une mosquée. En 1958, il fut ouvert au public en tant que musée.
Le guide nous fournit beaucoup d'explications et nous apprend le catéchisme d'une manière totalement différente de ce que nous connaissons.
Après la visite, j'achète un livre sur Istanbul et nous regardons les sacs à main.
Le bus nous dépose ensuite au bazar aux épices dit le «bazar égyptien» où nous avons quartier libre pendant une heure. C'est une visite parfumée et très colorée. J'y achète des pistaches qui ont un prix bien salé : 6,50 € pour 420 g.
Il est 12 h 20, nous allons au restaurant. Dès que nous sommes attablés, les serveurs nous apportent un potage de légumes et pois chiches. Nous pouvons ensuite nous attaquer à la salade tomate-menthe-échalote et, à ce moment, sont déposés sur la table des Poğaça (genre de fougasses) au fromage ou à la viande et du pain Bazlama. Le plat est composé de kebab à la viande hachée avec des oignons, des légumes, du blé et un morceau de Dürüm (galette turque). En dessert, salade de fruits frais, puis expresso.
Nous reprenons le bus pour traverser la rue "pratiquement" et embarquons à 22 personnes sur un bateau prévu pour environ 200 passagers. Nous allons à l'étage sur la terrasse et passons deux bonnes heures de croisière sur le Bosphore. Il fait du soleil mais il y a beaucoup de vent, il vaut mieux être bien couvert. Ensuite avec le bus, nous allons jusqu'à la pointe de la Corne d'or. C'est un estuaire commun aux rivières Alibeyköy Deresi et Kağıthane Deresi qui se jettent dans le Bosphore à Istanbul. Cet emplacement qui forme un port naturel fut aménagé par les colons grecs pour former la ville de Byzance. Sous l’empire byzantin, les chantiers navals y étaient installés et un mur d'enceinte le long de la berge protégeait la ville des attaques navales.
Durant la croisière, nous avons admiré un splendide panorama de la ville et de nombreux monuments qui ne sont visibles que par bateau :
- Le Pont De Galata
- Le Marché Aux Épices et la Mosquée Neuve à Eminonu
- La Mosquée De Soliman Le Magnifique
- La Tour De Galata
- Le Palais De Topkapi
- La Basilique Sainte Sophie
- La Tour De Léandre
- Le Palais de Dolmabahce, résidence du sultan de 1853 à 1922
- L’Université de Galatasaray
- La Mosquée d’Ortaköy
- Le pont suspendu du Bosphore
- Les 620 yalis stambouliotes, grandes demeures en bois datant de l’Empire ottoman
- Le Château Fort de Rumeli
- Le deuxième pont suspendu du Bosphore de Mehmet II Le Conquérant
- Anadolu Hisarı, château fort du 14.siecle
- Küçüksu Kasrı, Palais De Chasse Des Sultans
- Kuleli Lisesi, Lycée Militaire
- Le Palais De Beylerbeyi, palais d’été des Sultans
Le bus nous emmène ensuite à l'aéroport Atatürk. L'enregistrement est dirigé par notre guide et ça va très vite. Il ne nous reste plus qu'à patienter en salle d'embarquement. Décollage à 18 h 00. Les hôtesses proposent des cakes et des sandwichs ainsi que des boissons non alcoolisées. Nous descendons de l'avion à Kayseri en Cappadoce à 19 h 30. Après avoir récupéré nos bagages, un bus vient nous chercher à la sortie de l'aéroport, et nous voilà partis pour 80 km à destination de Ürgüp. Nous arrivons à l'Otel Mustafa et après la remise des clés, nous nous dirigeons vers la salle à manger pendant que nos valises sont montées au quatrième étage où sont toutes les chambres de notre groupe. Au restaurant, c'est un self-service. Après le repas, il nous reste à regagner notre chambre.
Commentaires
Enregistrer un commentaire