Voyage découverte en Ouzbékistan 2011 - 24 octobre - Khiva - Boukhara
24 octobre 2011 - Khiva - Boukhara
Nous nous levons très tôt car le rendez-vous pour le petit déjeuner est à 6 h 00 en ayant pris soin de sortir nos sacs avant. Nous attendons à quatre dans le hall car le restaurant n'est pas éclairé ! Kahramon arrive et tout s'arrange... Nous déjeunons avec du thé, du jus de cerise, du pain, du fromage fumé, des biscuits, des œufs au plat et des fruits frais.
Nous prenons le départ vers 6 h 45 avec le minibus. Nous traversons d'abord des champs de coton et il y a de nombreuses usines de coton mais très vite, nous arrivons dans les steppes. C'est très désertique et la route est abominable mais elle va être rénovée, nous assure le guide. Les travaux sont en cours et certains tronçons (en béton, car c'est ce qui supporte le mieux les écarts de températures entre l'hiver à -20° et l'été à +45°) sont terminés mais il est interdit de les emprunter sous peine d'amende très élevée. Les travaux sont réalisés par des sud-coréens et des allemands. Nous faisons 480 kms dans ces conditions à jongler entre de la route à moitié détruite, des portions très ensablées, les bouchons, la poussière et les fous du volant. Nous avons quand même réussi à voir un renard des sables, surprenant dans cet enfer ! Le paysage est tellement monotone que nous n'avons même pas sorti les appareils photos.
En milieu de journée, nous faisons une halte dans un routier où on nous a servi une soupe aux spaghettis, puis du mouton et des pommes de terre cuits au bouillons et des biscuits qui ressemblaient à des boudoirs pour le dessert.
Nous arrivons à Boukhara vers 16 h 00. Nous allons à l'hôtel Hovli Poyon où on nous offre le thé et des fruits secs dans le jardin.
Après avoir installé nos affaires dans la chambre, nous partons avec Kahramon faire une petite visite de Boukhara qui est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO : Située sur la Route de la soie, Boukhara a plus de 2 000 ans. C'est l'exemple le plus complet d'une ville médiévale d'Asie centrale dont le tissu urbain est resté majoritairement intact, avec de nombreux monuments dont la célèbre tombe d'Ismaël Samani, chef-d'œuvre de l'architecture musulmane du Xe siècle, et de nombreuses medersa du XVIIe siècle.
Nous nous dirigeons vers un des nombreux bazars (ou coupole marchande).
Nous allons voir la mosquée Magok-i-Attari qui est la plus ancienne mais avait été enseveli par le sable et a été découverte en 1932 par des archéologues soviétiques.
Nous voyons de nombreux caravansérails.
Puis nous allons voir le complexe Liab-i-Haouz (qui signifie en Ouzbek "Au bord du bassin") où se font face la Madrasa (ou Médersa : c'est le terme d'origine arabe désignant une école, qu'elle soit laïque ou religieuse, quelle que soit la confession) Koukeldash et la Khanaka (ou Khanqah - Khanaqah : lieu destiné à abriter les spécialistes et savants religieux, l'équivalent des couvents pour les chrétiens) Nadir-Divan-Beghi séparées par un bassin de canalisations.
Nous nous rendons dans la boutique d'un maître marionnettiste et dans celle d'un artiste en miniatures.
Nous revenons à l'hôtel et passons directement à la salle à manger où après les fruits secs, crudités et herbes fraîches habituels, nous sont servis des légumes farcis (chou et poivrons) avec du riz et suivis d'une part de gâteau à la crème moka avec des fruits.
Ayant soulevé auprès de Kahramon le fait que notre chambre était petite et ne disposait pas de coiffeuse, une nouvelle chambre nous est attribuée ; nous faisons donc le déménagement avant d'aller retrouver Isabelle et Jean-Loup en ville dans un "point internet". Nous rentrons ensuite calmement à l'hôtel pour nous coucher après les derniers rangements. Je suis contente : j'ai pu m'installer confortablement car nous dormirons trois nuits dans cet hôtel.
Nous prenons le départ vers 6 h 45 avec le minibus. Nous traversons d'abord des champs de coton et il y a de nombreuses usines de coton mais très vite, nous arrivons dans les steppes. C'est très désertique et la route est abominable mais elle va être rénovée, nous assure le guide. Les travaux sont en cours et certains tronçons (en béton, car c'est ce qui supporte le mieux les écarts de températures entre l'hiver à -20° et l'été à +45°) sont terminés mais il est interdit de les emprunter sous peine d'amende très élevée. Les travaux sont réalisés par des sud-coréens et des allemands. Nous faisons 480 kms dans ces conditions à jongler entre de la route à moitié détruite, des portions très ensablées, les bouchons, la poussière et les fous du volant. Nous avons quand même réussi à voir un renard des sables, surprenant dans cet enfer ! Le paysage est tellement monotone que nous n'avons même pas sorti les appareils photos.
En milieu de journée, nous faisons une halte dans un routier où on nous a servi une soupe aux spaghettis, puis du mouton et des pommes de terre cuits au bouillons et des biscuits qui ressemblaient à des boudoirs pour le dessert.
Nous arrivons à Boukhara vers 16 h 00. Nous allons à l'hôtel Hovli Poyon où on nous offre le thé et des fruits secs dans le jardin.
Après avoir installé nos affaires dans la chambre, nous partons avec Kahramon faire une petite visite de Boukhara qui est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO : Située sur la Route de la soie, Boukhara a plus de 2 000 ans. C'est l'exemple le plus complet d'une ville médiévale d'Asie centrale dont le tissu urbain est resté majoritairement intact, avec de nombreux monuments dont la célèbre tombe d'Ismaël Samani, chef-d'œuvre de l'architecture musulmane du Xe siècle, et de nombreuses medersa du XVIIe siècle.
Nous nous dirigeons vers un des nombreux bazars (ou coupole marchande).
Nous allons voir la mosquée Magok-i-Attari qui est la plus ancienne mais avait été enseveli par le sable et a été découverte en 1932 par des archéologues soviétiques.
Nous voyons de nombreux caravansérails.
Puis nous allons voir le complexe Liab-i-Haouz (qui signifie en Ouzbek "Au bord du bassin") où se font face la Madrasa (ou Médersa : c'est le terme d'origine arabe désignant une école, qu'elle soit laïque ou religieuse, quelle que soit la confession) Koukeldash et la Khanaka (ou Khanqah - Khanaqah : lieu destiné à abriter les spécialistes et savants religieux, l'équivalent des couvents pour les chrétiens) Nadir-Divan-Beghi séparées par un bassin de canalisations.
Nous nous rendons dans la boutique d'un maître marionnettiste et dans celle d'un artiste en miniatures.
Nous revenons à l'hôtel et passons directement à la salle à manger où après les fruits secs, crudités et herbes fraîches habituels, nous sont servis des légumes farcis (chou et poivrons) avec du riz et suivis d'une part de gâteau à la crème moka avec des fruits.
Ayant soulevé auprès de Kahramon le fait que notre chambre était petite et ne disposait pas de coiffeuse, une nouvelle chambre nous est attribuée ; nous faisons donc le déménagement avant d'aller retrouver Isabelle et Jean-Loup en ville dans un "point internet". Nous rentrons ensuite calmement à l'hôtel pour nous coucher après les derniers rangements. Je suis contente : j'ai pu m'installer confortablement car nous dormirons trois nuits dans cet hôtel.
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