Trek 2013 – 22 septembre – Le Chemin de Stevenson
Dimanche 22 septembre - Le Pont de Montvert - Florac
Nous nous levons tôt mais le petit déjeuner n’est servi qu’à partir de 8 h 00. Nous attendons donc sur la terrasse l’ouverture des volets de la salle à manger. La patronne nous apporte tout sur la table dans des petits pots : café, lait, jus d’orange, trois sortes de confiture maison (orange-pamplemousse, mirabelles, poire-fruits rouges), puis le beurrier et une corbeille avec le pain et des croissants. Elle nous apporte également notre pique-nique et, une fois restaurés, nous voilà parti pour notre dernière étape sur le territoire du Mont Lozère.
Nous traversons le pont et très vite nous nous élevons par un petit chemin très sympa mais assez rude. Nous atteignons déjà la forêt et continuons à monter pour arriver au Signal du Bougès à 1421 m. Nous marchons ensuite jusqu’au col du Sapet à 1080 m dans la pinède. Nous mangeons d’ailleurs sous les pins le pique-nique de la Truite Enchantée qui est composé d’une salade de tomates, de jambon cru, d’un gros morceau de fromage, un bout de baguette, des prunes et une grosse part de gâteau. Nous ne traînons pas trop car nous avons encore beaucoup de kilomètres à parcourir. L’étape est de 28 km environ.
Nous passons notre après-midi en forêt, ce qui est monotone. Nous arrivons à une intersection avec deux possibilités pour rejoindre Florac, soit par le GR70 en passant par Cocurès et Bédouès ou le GR68 pour aller directement à Florac. Nous ne cherchons pas longtemps, nous prenons le plus court ce qui nous fait économiser 4,5 km ! On n’en voit pas la fin, on en a vraiment marre et ça se termine dans un sentier bien empierré…
Trouver l’hôtel du Parc à Florac est un réel soulagement. Mais avant d’y entrer, nous buvons une bière au PMU. Une fois que la clé de notre chambre nous a été remise (vers 17 h 00), nous nous installons et prenons une douche.
Comme l’hôtel n’assure pas la restauration le dimanche soir, nous devons nous mettre en quête d’un endroit où manger. Nous allons donc en ville pour repérer ce qui est ouvert et ce qu’on y mange. Nous buvons encore une bière installés à une terrasse. Pour finir, nous choisissons une pizzeria au feu de bois. Ce restaurant n’accepte pas les paiements en carte bleue et nous retournons à l’hôtel pour chercher le chéquier et une petite laine car il commence à faire froid après cette magnifique journée ensoleillée. Au restaurant, nous prenons un Lambrusco et pizza « Causses-Cévennes » avec chèvre, roquefort et jambon pour Gérard et « Cévenole » avec chèvre, lardons et champignons pour moi. Ensuite, une coupe glacée avec de la glace italienne à la vanille et de la chantilly, plus de la confiture de myrtilles ou du coulis de framboises. Le patron de la pizzeria a tenu à apposer le tampon officiel de l’association du Chemin de Stevenson sur mon carnet.
Nous rentrons à l’hôtel pour une bonne nuit.
Nous traversons le pont et très vite nous nous élevons par un petit chemin très sympa mais assez rude. Nous atteignons déjà la forêt et continuons à monter pour arriver au Signal du Bougès à 1421 m. Nous marchons ensuite jusqu’au col du Sapet à 1080 m dans la pinède. Nous mangeons d’ailleurs sous les pins le pique-nique de la Truite Enchantée qui est composé d’une salade de tomates, de jambon cru, d’un gros morceau de fromage, un bout de baguette, des prunes et une grosse part de gâteau. Nous ne traînons pas trop car nous avons encore beaucoup de kilomètres à parcourir. L’étape est de 28 km environ.
Nous passons notre après-midi en forêt, ce qui est monotone. Nous arrivons à une intersection avec deux possibilités pour rejoindre Florac, soit par le GR70 en passant par Cocurès et Bédouès ou le GR68 pour aller directement à Florac. Nous ne cherchons pas longtemps, nous prenons le plus court ce qui nous fait économiser 4,5 km ! On n’en voit pas la fin, on en a vraiment marre et ça se termine dans un sentier bien empierré…
Trouver l’hôtel du Parc à Florac est un réel soulagement. Mais avant d’y entrer, nous buvons une bière au PMU. Une fois que la clé de notre chambre nous a été remise (vers 17 h 00), nous nous installons et prenons une douche.
Comme l’hôtel n’assure pas la restauration le dimanche soir, nous devons nous mettre en quête d’un endroit où manger. Nous allons donc en ville pour repérer ce qui est ouvert et ce qu’on y mange. Nous buvons encore une bière installés à une terrasse. Pour finir, nous choisissons une pizzeria au feu de bois. Ce restaurant n’accepte pas les paiements en carte bleue et nous retournons à l’hôtel pour chercher le chéquier et une petite laine car il commence à faire froid après cette magnifique journée ensoleillée. Au restaurant, nous prenons un Lambrusco et pizza « Causses-Cévennes » avec chèvre, roquefort et jambon pour Gérard et « Cévenole » avec chèvre, lardons et champignons pour moi. Ensuite, une coupe glacée avec de la glace italienne à la vanille et de la chantilly, plus de la confiture de myrtilles ou du coulis de framboises. Le patron de la pizzeria a tenu à apposer le tampon officiel de l’association du Chemin de Stevenson sur mon carnet.
Nous rentrons à l’hôtel pour une bonne nuit.
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