Trek 2013 – 23 septembre – Le Chemin de Stevenson
Lundi 23 septembre - Florac - Cassagnas
Nous nous levons vers 7 h 20. Le petit déjeuner est servi à partir de 8 h 00 mais il faut déposer les sacs avant 8 h 00 pour la Malle Postale. L’hôtel étant 3 étoiles, pour le petit déjeuner, il y a de tout ! C’est le luxe… Je mange une énorme nectarine (en plus du reste, bien évidemment). Une fois la note réglée, nous allons au Carrefour Express pour acheter les vivres pour le pique-nique du midi. Nous allons faire notre première étape dans les Cévennes.
Nous traversons Florac avant de prendre un sentier en forêt encore une fois mais pas loin d’un cours d’eau « La Mimente » que nous suivrons toute la journée. Le seul souci, c’est qu’à un moment, nous avons loupé le marquage du chemin et nous nous sommes retrouvés sur la Route Nationale bien trop tôt (il fallait y faire 100 m) et c’est très dangereux. Finalement, nous empruntons une autre route, actuellement en travaux pour le goudronnage, qui nous permet de rejoindre le GR70. Nous traversons la Route Nationale et franchissons un pont à Saint Julien d’Arpaon et nous arrêtons auprès d’une fontaine pour manger notre sandwich viennois jambon, œuf, tomate.
Après le pique-nique, nous nous engageons sur le chemin qui est une ancienne voie ferrée le long des gorges de la Mimente. Nous passons sous trois tunnels, ça change un peu de la forêt et c’est même plaisant. Toute l’après-midi, nous restons à peu près à la même altitude. Nous arrivons à l’Espace Stevenson à Cassagnas vers 15 h 30. C’est une ancienne gare transformée en gîte d’étape et chambres d’hôtes. Nous buvons une bière au bar avant de prendre possession de notre hébergement. La chambre est simple avec un lit double, deux lits simples, une table et une chaise. Nous n’y logerons qu’à deux et nous avons une salle de bains privative. Les têtes de lit sont gravées aux initiales de Robert Louis Stevenson.
Une fois installés, nous allons sur une table de pique-nique en face du gîte pour essayer d’apercevoir les randonneurs que nous avons rencontrés en chemin. Tous les randonneurs s’installent à nos côtés au fur et à mesure de leur arrivée. Il y a un gentil Jack Russel qui s’appelle Filou et qui se frotte sur les sacs ou sur nos pieds à la manière d’un chat. Il est trop drôle, mais il faut dire que son meilleur compagnon de jeux est un joli chat gris et il s’agit certainement de mimétisme !
Nous passons là un bon moment et plaisantons avec deux allemandes qui se sont installées pour pique-niquer car elles ne dorment pas au gîte et doivent encore parcourir un bon bout de chemin. Chacun notre tour, nous allons prendre notre douche dans la chambre. Vers 19 h 15, nous allons à la salle à manger où tout est en libre-service. D’abord, diverses crudités (pas faites maison à mon avis) et trois sortes de quiches : saumon-aneth, jambon-champignons et la spécialité au roquefort-noix-raisins-épices. Pour le plat chaud, ce sont des saucisses aux herbes du Pont de Montvert avec des pâtes aux champignons. En dessert nous avons le choix entre coupétade aux pommes (voir explication dans la journée du 20 septembre), fondant aux marrons ou fromage blanc et crème de marrons.
Après le repas, nous sortons un peu nous dégourdir les jambes sur le conseil de la patronne pour essayer d’entendre le brame du cerf, mais nous ne sommes pas très motivés à rester dehors et rejoignons vite la chambre. Nous nous apercevons que nous avons oublié de commander le pique-nique du lendemain. Je retourne donc au bar et ouf, il n’est pas trop tard… Il n’y a pas de télévision dans la chambre et nous allons donc au lit tout de suite. Notre fils Florent (resté dans le Nord) s’est fait opérer des dents de sagesse et nous avons eu du réseau pour pouvoir le joindre et heureusement, ça a l’air d’aller.
Nous traversons Florac avant de prendre un sentier en forêt encore une fois mais pas loin d’un cours d’eau « La Mimente » que nous suivrons toute la journée. Le seul souci, c’est qu’à un moment, nous avons loupé le marquage du chemin et nous nous sommes retrouvés sur la Route Nationale bien trop tôt (il fallait y faire 100 m) et c’est très dangereux. Finalement, nous empruntons une autre route, actuellement en travaux pour le goudronnage, qui nous permet de rejoindre le GR70. Nous traversons la Route Nationale et franchissons un pont à Saint Julien d’Arpaon et nous arrêtons auprès d’une fontaine pour manger notre sandwich viennois jambon, œuf, tomate.
Après le pique-nique, nous nous engageons sur le chemin qui est une ancienne voie ferrée le long des gorges de la Mimente. Nous passons sous trois tunnels, ça change un peu de la forêt et c’est même plaisant. Toute l’après-midi, nous restons à peu près à la même altitude. Nous arrivons à l’Espace Stevenson à Cassagnas vers 15 h 30. C’est une ancienne gare transformée en gîte d’étape et chambres d’hôtes. Nous buvons une bière au bar avant de prendre possession de notre hébergement. La chambre est simple avec un lit double, deux lits simples, une table et une chaise. Nous n’y logerons qu’à deux et nous avons une salle de bains privative. Les têtes de lit sont gravées aux initiales de Robert Louis Stevenson.
Une fois installés, nous allons sur une table de pique-nique en face du gîte pour essayer d’apercevoir les randonneurs que nous avons rencontrés en chemin. Tous les randonneurs s’installent à nos côtés au fur et à mesure de leur arrivée. Il y a un gentil Jack Russel qui s’appelle Filou et qui se frotte sur les sacs ou sur nos pieds à la manière d’un chat. Il est trop drôle, mais il faut dire que son meilleur compagnon de jeux est un joli chat gris et il s’agit certainement de mimétisme !
Nous passons là un bon moment et plaisantons avec deux allemandes qui se sont installées pour pique-niquer car elles ne dorment pas au gîte et doivent encore parcourir un bon bout de chemin. Chacun notre tour, nous allons prendre notre douche dans la chambre. Vers 19 h 15, nous allons à la salle à manger où tout est en libre-service. D’abord, diverses crudités (pas faites maison à mon avis) et trois sortes de quiches : saumon-aneth, jambon-champignons et la spécialité au roquefort-noix-raisins-épices. Pour le plat chaud, ce sont des saucisses aux herbes du Pont de Montvert avec des pâtes aux champignons. En dessert nous avons le choix entre coupétade aux pommes (voir explication dans la journée du 20 septembre), fondant aux marrons ou fromage blanc et crème de marrons.
Après le repas, nous sortons un peu nous dégourdir les jambes sur le conseil de la patronne pour essayer d’entendre le brame du cerf, mais nous ne sommes pas très motivés à rester dehors et rejoignons vite la chambre. Nous nous apercevons que nous avons oublié de commander le pique-nique du lendemain. Je retourne donc au bar et ouf, il n’est pas trop tard… Il n’y a pas de télévision dans la chambre et nous allons donc au lit tout de suite. Notre fils Florent (resté dans le Nord) s’est fait opérer des dents de sagesse et nous avons eu du réseau pour pouvoir le joindre et heureusement, ça a l’air d’aller.
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