Trek 2013 – 25 septembre – Le Chemin de Stevenson
Mercredi 25 septembre - Saint Germain de Calberte – Saint Jean du Gard
Le petit déjeuner peut être pris à partir de 7 h 45. Nous y sommes tous un peu avant l’heure et attendons le patron. Celui-ci nous amène du jus d’orange et des pains chauds. Sur la table, il y a du beurre, de la confiture, du miel et pour le café, on se sert à la machine automatique.
C’est notre dernière journée de marche dans les Cévennes et aussi sur le chemin de Stevenson.
Nous partons immédiatement après le petit déjeuner car nous devons parcourir 20 km jusque Saint Jean du Gard et devons acheter de quoi manger en chemin. Encore une fois, nous sommes en forêt. Nous descendons jusque Saint Etienne Vallée Française où nous trouvons une petite épicerie. Nous y achetons une baguette, du saucisson à l’ail tranché, un pélardon et des pommes. Après, nous avons sacrée grimpette pour rejoindre le Col Saint Pierre. C'est la limite entre la Lozère et le Gard sur la Route Royale qui va de Nîmes à Saint Flour. Nous y trouvons une table de pique-nique un peu pourrie mais nous y déjeunons.
Ensuite, nous entamons la descente assez empierrée et nous en avons un peu marre. C’est le dernier jour de marche et ça se sent. En plus, ce qui nous énerve c’est que nous marchons régulièrement sur de la route goudronnée et ça ne fait plus trop chemin de randonnée. A l'approche de Saint Jean du Gard, nous descendons de la route et poursuivons sur un chemin le long du cours d'eau "le Gardon de Saint Jean".
Ce sentier est beaucoup moins fréquenté et nous suivons le GR jusqu'au centre ville pour bifurquer vers notre hôtel l'Auberge du Peras qui se situe à la sortie de la ville.
Nous avons la clé de la chambre tout de suite. Nous prenons un bain, réorganisons nos sacs et allons faire un tour en ville avec la voiture que nous avons récupérée à l'hôtel où elle a été ramenée par la Malle Postale. Nous nous promenons un peu mais encore une fois, il n'y a pas beaucoup d'animation. Nous buvons une bière Belzébuth dans un café près de la gare et nous rentrons à l'hôtel.
Vers 19 h 30, nous allons à la salle de restaurant et comme c'est la fin de notre périple, nous demandons de pouvoir choisir dans les menus en nous acquittant du supplément par rapport à la demi-pension "Stevenson". Nous prenons d'abord l'apéritif : Whisky et kir à la châtaigne. En entrée, ce sera une croustade aux champignons et lardons sur lit de salade. En plat, du filet mignon de veau à la cartagène (apéritif local) pour l'un et rouille du pêcheur et son rizotto au chorizo pour l'autre. Pour le dessert, nous prenons tous les deux une crème brûlée à la lavende qui a un parfum extraordinaire.
Nous allons nous couché après avoir tout bien préparé nos affaires pour le lendemain.
Nous partons immédiatement après le petit déjeuner car nous devons parcourir 20 km jusque Saint Jean du Gard et devons acheter de quoi manger en chemin. Encore une fois, nous sommes en forêt. Nous descendons jusque Saint Etienne Vallée Française où nous trouvons une petite épicerie. Nous y achetons une baguette, du saucisson à l’ail tranché, un pélardon et des pommes. Après, nous avons sacrée grimpette pour rejoindre le Col Saint Pierre. C'est la limite entre la Lozère et le Gard sur la Route Royale qui va de Nîmes à Saint Flour. Nous y trouvons une table de pique-nique un peu pourrie mais nous y déjeunons.
Ensuite, nous entamons la descente assez empierrée et nous en avons un peu marre. C’est le dernier jour de marche et ça se sent. En plus, ce qui nous énerve c’est que nous marchons régulièrement sur de la route goudronnée et ça ne fait plus trop chemin de randonnée. A l'approche de Saint Jean du Gard, nous descendons de la route et poursuivons sur un chemin le long du cours d'eau "le Gardon de Saint Jean".
Ce sentier est beaucoup moins fréquenté et nous suivons le GR jusqu'au centre ville pour bifurquer vers notre hôtel l'Auberge du Peras qui se situe à la sortie de la ville.
Nous avons la clé de la chambre tout de suite. Nous prenons un bain, réorganisons nos sacs et allons faire un tour en ville avec la voiture que nous avons récupérée à l'hôtel où elle a été ramenée par la Malle Postale. Nous nous promenons un peu mais encore une fois, il n'y a pas beaucoup d'animation. Nous buvons une bière Belzébuth dans un café près de la gare et nous rentrons à l'hôtel.
Vers 19 h 30, nous allons à la salle de restaurant et comme c'est la fin de notre périple, nous demandons de pouvoir choisir dans les menus en nous acquittant du supplément par rapport à la demi-pension "Stevenson". Nous prenons d'abord l'apéritif : Whisky et kir à la châtaigne. En entrée, ce sera une croustade aux champignons et lardons sur lit de salade. En plat, du filet mignon de veau à la cartagène (apéritif local) pour l'un et rouille du pêcheur et son rizotto au chorizo pour l'autre. Pour le dessert, nous prenons tous les deux une crème brûlée à la lavende qui a un parfum extraordinaire.
Nous allons nous couché après avoir tout bien préparé nos affaires pour le lendemain.
Commentaires
Enregistrer un commentaire